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La Fin des alliances franco-indiennes
par Denis Vaugeois

Denis Vaugeois retrace ici les faits survenus entre la capitulation de Québec et celle de Montréal. La Fin des alliances raconte une enquête passionnante, où la même histoire est reprise sous plusieurs angles.

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Les Inuit et les Cris du Nord du Québec
par Collectif

Au nord du Québec, les Inuit du Nunavik et les Cris de la Baie James (Eeyou Istchee) ont signé en 1975 la Convention de la Baie-James et du Nord québécois (CBJNQ) avec le -Gouvernement fédéral du Canada, le -Gouvernement du Québec, Hydro-Québec et la Société de développement de la Baie James.

Cette Convention voulait régler le lourd contentieux lié aux grands travaux de développement hydroélectrique, forestier et minier dans ces régions. En compensation de la perte d'immenses territoires ancestraux de chasse, de pêche, de nomadisme, elle attribuait aux Cris et aux Inuit des subventions importantes, leur garantissait l'extension des services médicaux, sociaux et éducatifs dont la mise en ouvre a été ensuite organisée par des institutions gérées par les Autochtones. Cependant, en poursuivant leurs revendications, les Cris et les Inuit ont obtenu d'autres Ententes qui complètent la CBJNQ et ils développent un processus d'autonomie par la création en cours de gouvernements régionaux.
 
Les Cris et les Inuit se trouvent confrontés aux difficultés d'une sédentarisation rapide, aux avantages et aux inconvénients de l'irruption de la modernité dans leurs territoires. Comment font-ils face à ces défis en ce qui concerne leur gouvernance, l'environnement et la santé, les problèmes sociaux, le maintien de leur langue, de leur culture, de leur patrimoine ? Quels sont leurs réalisations, leurs revendications, leurs projets?

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Louis XIV et le Canada, 1658-1674
par Louis Gagnon

Le 10 mars 1661, le roi Louis XIV s'érige en monarque absolu, après avoir aboli le poste de principal ministre. L'onde de choc provoquée par cet événement sans précédent se propage jusqu'en Nouvelle-France. Le Canada saisit alors sa chance en attirant les regards de la Cour sur ce pays perdu.

Si le parti des jésuites entend en profiter pour mousser les missions évangéliques auprès des Sauvages, le camp du gouverneur s'empresse de déléguer Pierre Boucher auprès du jeune souverain afin de promouvoir les intérêts temporels de la colonie. Les ambitions convergentes des deux partis portent le roi à envoyer des troupes pour mater les Iroquois encore récalcitrants. Mais, pour Louis XIV, le véritable enjeu est moins la pacification du pays que le statut à lui accorder. Le verdict tombe, sans appel, en 1666: le roi écarte le projet d'un vaste royaume en Amérique sous prétexte que sa création compromettrait son prestige et la sécurité de ses sujets d'outre-mer.

La France du XVIIe siècle révèle une toile de relations serrées liant le monarque et ses sujets. Le bon plaisir du roi et l'aide calculée de Colbert se retracent dans ce réseau d'influence, contrastant avec le génie visionnaire de Boucher et de l'intendant Talon dont le dessein ne manque pourtant pas d'appuis: celui du gouverneur Frontenac et, non le moindre, celui du «citoyen» Vauban.

Au bout du compte, leurs écrits évoquent le rêve canadien d'un État grandiose et viable, comme ils témoignent de la désaffection du roi pour une certaine idée du Canada.

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L'Attaque de 1763: De Montréal à Michillimakinac
par Alexander Henry

Traduit de l'anglais par Georges Brissette

Né au New Jersey, le jeune marchand Alexander Henry entame sa vingtaine au moment où la guerre bat son plein en Amérique du Nord entre Britanniques et Français.

Dans l'idée de faire fortune, il se fait autoriser à accompagner les troupes d'Amherst comme marchand autonome et à les ravitailler jusqu'à Montréal. Après la capitulation de la ville en 1760, il obtient un permis pour le fort Michillimakinac, où il prévoit de bonnes affaires. Mais les Indiens, alliés des Français, restent hostiles aux Anglais et mijotent leur vengeance: le 2 juin 1763, ils lancent une attaque sur le fort et massacrent ses occupants.

Alexander Henry survivra miraculeusement, protégé par le chef sauteux Wawatam. Durant une année, il accompagnera les Indiens dans leurs déplacements sur leurs territoires de chasse et de pêche.

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Les Aventures de Radisson : L'Enfer ne brûle pas T-01
par Martin Fournier

Au printemps 1651, un jeune homme originaire de Paris débarque à Trois-Rivières. Mais, à peine arrivé, son destin bascule lorsque les Iroquois le capturent. Pour Pierre-Esprit Radisson commence alors une nouvelle vie qui va le conduire dans des contrées inconnues en compagnie des Iroquois qui, après l'avoir torturé, l'adoptent comme un frère.

Ce premier volet des aventures de Radisson, le plus célèbre des coureurs de bois de l'histoire du Canada, plonge le lecteur au coeur de l'époque héroïque où les Français côtoyaient chaque jour les autochtones, alliés ou ennemis. L'historien Martin Fournier marie avec brio rigueur et passion dans un roman qui plaira autant aux férus d'histoire qu'aux plus jeunes lecteurs avides de sensations fortes.

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